Lors de la commission paritaire nationale de branche du 15 novembre la FEHAP a proposé en commission paritaire de négociation de réviser les critères d’attribution de la prime décentralisée en réduisant la liste des absences n’entraînant pas d’abattement à seulement celles reconnues comme du temps de travail effectif par le Code du travail.
On ne sait dire si nous avons à faire à des employeurs du XIXe siècle en matière de dialogue social ou avec une vision moyenâgeuse de l’égalité professionnelle.
Vous trouverez ci-dessous « en cliquant sur l’image« , un tract – La FEHAP fustige le droit des femmes.